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Vendredi (14/09/07)
Arizona Just do it
De cette race de vagabonds farouches mais trop influençables.
Alcool. Douce évasion. Sexe. Sauvage combat.
De cette race, agrippés à la chair comme si c'était un pays, comme à la terre elle-même, sous leurs pieds.

Au front d'un éternel face-à-face. La colère traverse le temps c'est tout ce qu'il nous reste.
Que du vent.
Mais l'bon Dieu a fait ça bien, faut se le dire. De l'horizon seuls les clochers d'églises pointent vers ce drôle de nord, vers l'au-dessus de nos têtes trop pleines. Comme s'il était partout.

Mais où t'étais quand j'ai eu besoin de toi, la seule fois où je t'ai supplié de ne pas me laisser tomber ?
a long long time ago...

Comme s'il était partout. Alors qu'on est tous nulle part.
C'est une vieille rancoeur qui traîne à l'intérieur, faudra juste que le temps et le vent l'emporte. Sera déjà ça de fait...
Ecrit par Ardente, à 18:41 dans la rubrique Missives.
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Dimanche (09/09/07)
--> et si c'était de s'accrocher à une idée, à quelqu'un... ?




«Dans les livres, il n'y a rien ou presque rien d'important : tout est dans la tête de la personne qui lit. »

Ecrit par Ardente, à 11:19 dans la rubrique Missives.
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Jeudi (06/09/07)
Bullshit.
Ecrit par Ardente, à 17:10 dans la rubrique Missives.
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Mercredi (05/09/07)
Exposure
Étrange comme des fois une simple phrase, anodine, ou plutôt la manière de dire ces mots, le ton employé fait apparaître devant nos yeux des images, d'autres mots. Des mots qui ne veulent rien dire, qui ne sont que beau, qui ne laissent rien paraître.

En même temps que mon visage ne laisse rien paraître - mes gestes me trahissent moins que mon regard fuyant - je divague, divague.

On ne m'entends plus crier.

En fait, on ne m'entendait plus crier, jusqu'à ce qu'enfin je crie, jusqu'à ce que je hurle, en fait. Jusqu'à ce que la marde pogne, comme on dirait, que toute l'accumulation de frustrations et de déceptions fuit, jusqu'à ce que je revienne là où je m'étais égarée. La colère n'est pas un point de non-retour, je vous l'assure, et ce ne sont que des imbéciles qui m'exortent à me révolter.


Je suis libre de faire ce que je veux.

« Qu'il l'eût déjà prouvé mille fois, cela ne signifiait rien. Il fallait le prouver encore.  »



mais ils n'avaient pas tout à fait tort
j'ai tout à apprendre
                   Je pense encore à toi

 

Ecrit par Ardente, à 19:04 dans la rubrique Missives.
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Samedi (11/08/07)
je tiens la fragilité par sa racine
Juste l'enfer.

Juste cette vive brûlure.
Dans l'abdomen

Juste une page de plus, un trou en moins, le tremblement perceptible grâce à trop de mots biffés.
On peut biffer sa propre existence comme on trace un trait sur un mot de trop, une phrase imparfaite ?
Si à force de tirer, j'arrivais à déchirer mon épiderme...

Tout est trop fragile.
Je suis toute fragile.



Ecrit par Ardente, à 20:02 dans la rubrique Missives.
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Mercredi (08/08/07)
Transparence
Naufrage
Ecrit par Ardente, à 15:06 dans la rubrique Missives.
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Dimanche (01/07/07)
Toute personnelle révolution
Je vis un véritable roman d'aventure (contre mon gré, oui, oui)

Deuxième fuite en deux ans (ça fait une par année, je suis pas mal forte).
La première fut par amour (selon sa vision personnelle de l'affaire. Moi, je dirais plutôt qu'il s'agissait d'une nécessité et une l'occasion se présentait, m'invitant à faire une folle de moi)
et celle-ci fut... [sans commentaire].


Arrête de trembler, idiote. Tu es d'un naturel pathétique, ris-en ! (monologue de ma conscience alors que je prenais tous les détours possibles et impossibles, même si cela n'éloignait pas la probabilité de tomber nez-à-nez...

Ça doit être à cause de l'alignement des planètes dans l'univers, ou ce n'est que l'évolution naturelle de mon existence dans ce-dit univers, je ne sais pas trop. Je viens de radicalement chambouler mes principes, moral et vital, fondamentaux. Ma vie ne sera plus jamais la même.

Tu prends peut-être tout trop au sérieux, ma belle.
Ecrit par Ardente, à 14:08 dans la rubrique Missives.
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Jeudi (28/06/07)
je voyage sur une carte routière
devant un mur.

personne à qui parler
je n'ai peut-être aucune ambition
je n'ai peut-être que des peurs

Ta gueule hostie. Et lis.
Ecrit par Ardente, à 19:38 dans la rubrique Missives.
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Jeudi (26/04/07)
Fidélité et la fin d'un mythe
--> J'aimerais entendre mon propre coeur battre.
C'est la fin.

Je n'ai plus rien à lui prouver. Je n'ai plus à tenter de me faire valoir. Ça n'en vaut plus la peine.

J'ai échoué. Là où ça semblait pourtant si facile... Comment faites-vous tous ? Pourquoi je n'y arrive pas ? Non, je ne continuerai pas à me démener. J'abandonne. Elle a gagné, dans toute sa mauvaise foi et ses regards condescendants.

Toutes ces déceptions causées, tous ces reproches pas tout à fait formulés mais à peine voilés, tous ces regards.

Avoir pu lui arracher les yeux...

Il me semble que j'en ai assez fait, d'effort. Il me semble...

Pourtant... pourtant...

J'aurais dû m'en douter, surtout ce soir-là...

« Tu n'peux pas me faire ça. Qu'est-ce que je ferais sans toi?»

Ça c'est tout sauf une déclaration d'amour. Ça a tous les effets sauf de m'inciter à rester. No offense.

Sauf votre respect... ma vie vaut pas grand-chose.
Ecrit par Ardente, à 21:04 dans la rubrique Missives.
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Mardi (24/04/07)
Roman à l'eau de rose
--> ou, méchante déprime...
Juste comme ça, pour rien, crier. Crier, parce que. Point. De toute façon y'a rien qui change, de toute façon c'est comme ça, parce que. Même si je voulais, qu'aurais-je à dire ?

Rien.

Comme toujours.

Est-ce que tu sais comment le ciel
n'a plus d'espace quand t'es pas là ?

Tout en l'air, toujours tout par terre. Je me regarde dans le miroir et je suis si laide. Si même moi, je ne veux pas de moi...
Je voulais une jolie histoire, avec des jolis mots, joliement accordés. J'ai les cernes, la fatigue, la peau sèche, la poussière, le coeur sur la glace.

Mon corps se laisse bercer à poing fermé

Je me tais et c'n'est même plus drôle.
Ecrit par Ardente, à 19:55 dans la rubrique Missives.
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