Si les livres sont comme la vie. . .
On se fait de faux espoirs.
On attend, on est aux aguets. On se dit que ça approche. Que c'est incontournable. On n'ose pas trop essayer de faire avancer les choses plus rapidement. De peur de tout gâcher. De passer pour un être ignoble. De passer pour une obsédée, incapable d'oublier, de passer à autre chose. Une incapable.
On attend, on hésite, on s'apprête à faire un geste de plus, dire un mot de plus, on se retient, on fige.
Trop tard.
Ça n'aura servi à rien. Ça ne se passe jamais comme on le voudrait. Changement de sujet, changement d'attitude, changement de préoccupation.
On a envie de lui arracher la tête. On rage de l'intérieur.
Épuisée. On ne fera plus rien. On n'espérera plus rien. On ira dormir.
On attend, on est aux aguets. On se dit que ça approche. Que c'est incontournable. On n'ose pas trop essayer de faire avancer les choses plus rapidement. De peur de tout gâcher. De passer pour un être ignoble. De passer pour une obsédée, incapable d'oublier, de passer à autre chose. Une incapable.
On attend, on hésite, on s'apprête à faire un geste de plus, dire un mot de plus, on se retient, on fige.
Trop tard.
Ça n'aura servi à rien. Ça ne se passe jamais comme on le voudrait. Changement de sujet, changement d'attitude, changement de préoccupation.
On a envie de lui arracher la tête. On rage de l'intérieur.
Épuisée. On ne fera plus rien. On n'espérera plus rien. On ira dormir.