Selon un tout autre ordre d'idées
« Il faut comprendre que le désespoir d'un enfant est beaucoup plus terrible qu'on ne peut se l'imaginer, principalement pour deux raisons : d'Abord, parce que le désespoir est nouveau pour lui, et ensuite à cause de l'intensité de ce désespoir qui dépasse de loin ce que pourrait supporter un individu normal. (...)
Dans le même ordre d'idées, un grand dépressif dans la quarantaine, avec de l'expérience, deux divorces, trois faillites personnelles, un pro de la déprime qui serait obligé de ressentir le désespoir d'un enfant qui vient de casser la précieuse statuette en cristal sur la cheminée de ses parents, la puissance du désespoir serait telle que ce dépressif aguerri s'ouvrirait les veines dans le premier lavabo venu. »
« Clarence, je ne devrais pas te dire ça, parce que ça pourrait nuire à ton éducation caractérielle en développement, mais... mais...
Je savais pas comment lui dire.
- Mais... mais... pour une fille, t'es... t'es... t'es... mieux qu'un tracteur, voilà. »
Dans le même ordre d'idées, un grand dépressif dans la quarantaine, avec de l'expérience, deux divorces, trois faillites personnelles, un pro de la déprime qui serait obligé de ressentir le désespoir d'un enfant qui vient de casser la précieuse statuette en cristal sur la cheminée de ses parents, la puissance du désespoir serait telle que ce dépressif aguerri s'ouvrirait les veines dans le premier lavabo venu. »
« Clarence, je ne devrais pas te dire ça, parce que ça pourrait nuire à ton éducation caractérielle en développement, mais... mais...
Je savais pas comment lui dire.
- Mais... mais... pour une fille, t'es... t'es... t'es... mieux qu'un tracteur, voilà. »
Bruno Hébert, C'est pas moi, je le jure!
Ecrit par Ardente, le Mardi 19 Septembre 2006, 15:53 dans la rubrique Mots des autres. . ..