Crier brailler aimer dans le vide
Je n'comprends rien... cette impression, qui revient, immanquable. Ce n'est même plus vide, c'est si lourd, je ne tiens plus.
Tant pis pour les promesses
Tant pis pour les pactes
Tant pis, tant pis...
J'ai tellement peur de lâcher prise. D'oublier de partir à temps. D'abandonner.
J'ai si peur de leur ressembler, que tout ce que je peux faire c'est de ne plus les écouter, de me tenir pour ne pas hurler. De me retenir pour ne pas tout briser, pour ne pas enflammer mes dernières traces. Peur qu'ils me voient, m'entendent, me sentent.
J'en ai le souffle court.
Tout ce que je fais ne me mène nulle part, c'est le vide, c'est la soif, c'est les regrets.
Tout ce que je dis c'est du vent. Et pourtant. . .
Je ne me crois même plus. À force de me mentir, de leur mentir, de me dissimuler, d'essayer de rire. . . Je ne sais plus. J'ai arrêter de rêver d'un mode d'emploi, je devrais arrêter de réfléchir. À trop réfléchir, je m'enfonce. Je m'enfonce et je suis si bien au fond...
Tant pis pour les promesses
Tant pis pour les pactes
Tant pis, tant pis...
J'ai tellement peur de lâcher prise. D'oublier de partir à temps. D'abandonner.
J'ai si peur de leur ressembler, que tout ce que je peux faire c'est de ne plus les écouter, de me tenir pour ne pas hurler. De me retenir pour ne pas tout briser, pour ne pas enflammer mes dernières traces. Peur qu'ils me voient, m'entendent, me sentent.
J'en ai le souffle court.
Tout ce que je fais ne me mène nulle part, c'est le vide, c'est la soif, c'est les regrets.
Tout ce que je dis c'est du vent. Et pourtant. . .
Je ne me crois même plus. À force de me mentir, de leur mentir, de me dissimuler, d'essayer de rire. . . Je ne sais plus. J'ai arrêter de rêver d'un mode d'emploi, je devrais arrêter de réfléchir. À trop réfléchir, je m'enfonce. Je m'enfonce et je suis si bien au fond...